Grèce : je mangerais en tant que homme libre


La lutte des requérants d’asile en Grèce, dont on avait parlé il y a quelques jours, continue. Seulement un des quatre migrant, un journaliste, est arrivé à faire analyser son dossier pour obtenir l’état de réfugié. Les autres ont été transféré par les flics dans une « cellule disciplinaire » (πειθαρχείο) pour essayer de les flanquer. Un parmi eux est un condition critique mais ils sont tous motivés à continuer la grève de la faim : « je veux vous demander, pourquoi on doit rester en prison encore? In Iran on n’avait pas de liberté d’expression… ici on en pas la possibilité… Pensez à ça : exploitation, habitude, et prière. Quand l’exploitation devient une habitude, on prie mais on devrait lutter pour l’avoir! »

Cette protestation n’est que la pointe de l’iceberg, les centre de détentions en Grèce sont des véritables zones grises et c’est très rares qu’un acte de révolte devienne public.

Ici vous trouvez une bref chronologie des grèves de la faim dont se sont rendus protagonistes les réfugiés en Grèce

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